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PREMIERS SUR LES ANIMAUX
SUCCÈS ÉLECTORAUX
Malgré le sectarisme et la violence des Verts et de l'Entente Écologiste (qui, s'estimant abusivement propriétaire du mot "écologiste", a tout fait pour priver les Nouveaux Écologistes de documents électoraux y compris par la voie judiciaire, sans succès), l'alliance emmenée par Manovelli obtient plus de 700 000 voix, une moyenne de 2,5 % et devient la sixième force politique française.
Suite à ce tour de force, les Verts et leurs alliés intentent un nombre considérable de procès à l'endroit des Nouveaux Écologistes et initieront à leur encontre une campagne véhémente, les accusant même d'avoir présenté des candidats à leur insu. Toutes les procédures engagées sont perdues par la suite, et le Conseil Constitutionnel rejette l'ensemble des recours mettant en cause la sincérité et la régularité des candidatures présentées. L'honneur des Nouveaux Écologistes est rétabli.
IMPLANTATION LOCALE
Devant la faculté des électeurs et citoyens à mieux retenir l'emblème du parti que son nom, les Nouveaux Écologistes changent d'appellation et deviennent en 2001 "Le Trèfle - Les Nouveaux Écologistes", souvent arégés en "Le Trèfle". Le Parti Pour la Défense pour les Animaux fusionne ensuite dans le Trèfle. L'Union Nationale Écologiste, elle, conserve son indépendance, tout en continuant à nouer des alliances régulières avec son partenaire habituel.